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13. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « L. H. Dancourt, Arlequin de Berlin, à Mr. J. J. Rousseau, citoyen de Genève. » pp. 1-12

Je réponds à votre ouvrage, beaucoup plus pour vous porter à m’éclairer, que dans le dessein de profiter des avantages que la faiblesse de vos arguments me donne dans la question : peut-être en avez-vous de plus convaincants à produire et que vous vous les êtes réservés pour confondre un adversaire, afin qu’on n’ait pas à vous reprocher d’avoir triomphé sans combattre. […] Je ne leur ai fait aucune question sur le premier objet de votre libelle : les matières théologiques sont trop au-dessus de moi : d’ailleurs ce serait entreprendre sur M. d’Alembert ; qui peut mieux que lui réfuter les reproches que vous lui faites, s’ils méritent de l’être ? […] « Demander si les Spectacles sont bons ou mauvais en eux-mêmes, c’est faire une question trop vague ; c’est examiner un rapport avant que d’avoir fixé les termes. »e Point du tout : puisque par le mot de « spectacle » on n’entend ordinairement que ceux où des Auteurs ingénieux s’efforcent de punir le vice et de faire aimer la vertu, des Tragédies et des Comédies et non pas tous les autres spectacles frivoles qui ne font rien pour le cœur ni pour l’esprit : on peut donc alors avancer la question et conclure en faveur des spectacles.

14. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XIX. Autre principe de Platon sur cette matière. » pp. 69-71

Il y est pourtant question de « l’ancien différend » entre poésie et philosophie (607b). […] Il y est pourtant question de « l’ancien différend » entre poésie et philosophie (607b).

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