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164. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174

Le public est-il conséquent, s’il les admire tous les deux ? […] Sont-ce là des leçons et des exemples à mettre sous les yeux du public ? […] La ville, le Gouverneur de Calais, tout le public, y ont applaudi de concert. […] S’il est utile de présenter au public de bons sentiments, n’est-il pas pernicieux de lui en offrir de criminels ? […] Mais il ne peut dissimuler qu’on n’ose plus la donner au public, et qu’il la retira lui-même du théâtre.

165. (1733) Dictionnaire des cas de conscience « Comédie. » pp. 765766-806

 » Il ajoute ensuite, que ces spectacles sont des écoles publiques d’impureté Ibid. […] En tout cas, s’il y avait quelque chose contre l’honnêteté dans ces exercices publics qui se font dans les Collèges, on en devrait blâmer l’usage, comme celui des Comédies. […] Et page 139. il prive de la Communion ces derniers, comme pécheurs publics. […] » voici quels sont ceux qui ont des empêchements pour recevoir les Ordres : Les usuriers publics, les Farceurs, Bateleurs, Comédiens, les infâmes, etc. Le Rituel de Bayeux de l’année 1687. page 251. compte parmi les pécheurs publics et infâmes ceux qui s’appellent Comédiens et Bateleurs.

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