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343. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222

Loin d’éclairer la discussion à la lueur du flambeau d’une critique saine, M. de Sénancourt, sans aucune transition et sans aucunes réflexions préalables, se permet aussi de divulguer, pour son propre compte, les farces et les processions licencieuses et quelquefois obscènes du clergé d’autrefois.

344. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre treizieme « Réflexions morales, politiques, historiques,et littéraires, sur le théatre. — Chapitre III.  » pp. 75-112

Ce dessein fut bien reçu ; on le jugea propre à polir l’esprit, & à exciter dans le cœur l’amour de le vertu. […] Il s’en vengea par cette Comédie, où il représente quelque aventure arrivée au Collége avec la fille de ce Principal, & lui en met une autre sur son compte, avec si peu de ménagement, que c’étoient les mêmes noms, & du maître de la fille, & des cuistres, Granger, Manon, Pagelin, comme Moliere a conservé le nom propre de Pourceaugnac & de George Dandin. […] Malezieux étoit en société de composition avec l’Abbé Genest, homme aimable, doux & liant par caractère, poli, homme de Cour, propre à figurer dans de pareilles fêtes par sa facilité à trouver des rimes. […] Il y a pourtant quelques Lettres au Comte de Gramont, son beau-frere, qu’on estime, & des Mémoires de ce même Comte, qui ont de l’agrément ; car il regne par-tout dans ce recueil, dont l’étalage typographique a fait six petits volumes, une gayeté d’imagination, une légereté de style, une délicatesse d’expression propre à un homme du monde, qui dit des riens agréablement.

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