L’autre me ramenera naturellement aux Tragédies de Racine, à l’occasion desquelles j’ai bien des réflexions à vous proposer. […] Ce plan proposé en Angleterre devroit déjà s’exécuter en France.
J’en conviens : mais le Philosophe ne se donne pas pour sçavoir la vérité, il la cherche ; il examine, il discute, il étend nos vues, il nous instruit même en se trompant ; il propose ses doutes pour des doutes, ses conjectures pour des conjectures, & n’affirme que ce qu’il sçait.