leur dit-il ailleurs, quoique vous fassiez profession d’être Chrétiens, et que vous en preniez le nom. […] S’ils aiment, dit-il, ceux qui sont véritables, et qui leur seront utiles ; qu’ils s’appliquent à la lecture des saintes Ecritures ; et ils y trouveront des spectacles dignes de la foi, dont ils font profession. […] faites s’il vous plaît la grâce à tous ceux qui portent la qualité des Chrétiens, de rejeter ce qui est contraire à un nom si saint ; et d’embrasser tout ce que demande d’eux une profession si divine.
Ceux qui font profession de littérature, n’ayant à plaire qu’à des gens qui n’ont point d’idées saines, sont convaincus de leur supériorité, & leur font goûter sûrement tout ce qui sort de leur plume.