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82. (1664) Traité contre les danses et les comédies « LETTRE DE L’EVEQUE D’AGNANI, Pour la défense d’une Ordonnance Synodale, par laquelle il avait défendu de danser les jours des Fêtes. Au très Saint et très Bienheureux Père Paul V. Souverain Pontife. Antoine Evêque d’Agnani, éternelle félicite. » pp. 154-176

Il faut, dit saint Clement, que les fidèles reçoivent avec respect la connaissance des volontés de Dieu de la bouche de leur Evêque, qu’ils demandent au Prêtre les avis nécessaires pour parvenir un jour à l’éternité bienheureuse qu’ils espèrent, et qu’ils apprennent des Diacres les règles de la discipline Ecclésiastique. […] Dieu le lui a donné pour appuyer les règles de la discipline de l’Eglise, et afin que ce que les Prélats et les Prêtres ne pourront pas gagner sur les peuples par la force de la parole divine qu’ils annoncent, s’accomplisse par la terreur que les Lois et les Ordonnances Civiles peuvent imprimer dans leur esprit.

83. (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167

nos esprits forts ne lui ont-ils pas appris que tout est matière en ce monde, et que l’éternité n’est qu’une invention due au fanatisme des prêtres, comme à la politique des souverains ! […] Ce n’est cependant pas la faute de l’auteur, puisque lui-même, dans l’une des scènes précédentes, établit ainsi le vrai caractère qui distingue le prêtre digne de ce nom, du misérable fanatique qui le déshonore. […] Toi, prêtre, toi braminer ! […] « Prêtres, écoutez-moi, Soyez intéressés, soyez cruels, sans foi, Soyez ambitieux ; soyez rois sur la terre ; Prêtres d’un Dieu de paix, ne prêchez que la guerre ; Armez et divisez pour vos opinions, Les pères, les enfants, les rois, les nations : » Voilà ce qu’ils ont fait … … » Où donc en est la preuve, de ces horribles imputations. […] Nom donné aux prêtres formant la première des quatre grandes castes chez les Indiens, et enseignant la doctrine des Védas ou livres sacrés.

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