., voilà deux morales dont la religion et la comédie présentent le contraste perpétuel. […] Mais ceux qui les présentent le sont-ils jamais ?
Il lui siérait mieux, ce me semble, de prouver son sentiment par la connaissance de l’homme, et par les vraies idées de la Religion, que par des comparaisons qui loin d’éclaircir la matière, présentent à l’esprit plusieurs cas à la fois, et des cas qui demandent qu’on compare une infinité de circonstances, si on veut les décider avec quelque exactitude. […] Il se présentera quelques interprètes des sentiments de l’Eglise.