J’entends dire qu’il attaque les vices ; mais je voudrais bien que l’on comparât ceux qu’il attaque, avec ceux qu’il favorise… Son intention étant de plaire à des esprits corrompus, ou sa morale porte au mal ; ou le faux bien qu’elle prêche est plus dangereux que le mal même, en ce qu’il fait préférer l’usage et les maximes du monde à l’exacte probité en ce qu’il fait consister la sagesse dans un certain milieu entre le vice et la vertu, en ce qu’au grand soulagement des spectateurs.
Le sieur Caihava ne porte pas son admiration jusqu’aux mœurs de ce fameux Histrion, & à celles de ses adorateurs.