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311. (1759) Lettre d’un ancien officier de la reine à tous les François sur les spectacles. Avec un Postcriptum à toutes les Nations pp. 3-84

) un pas, une œillade de chacune de ses infames complices, porte une étincelle seule capable d’allumer deux mille torches ardentes de la passion aveugle pour le malheur de tous ses Spectateurs : Qui pourra donc calculer le nombre de ses forfaits ? […] des Philosophes trop hardis, qui ayant à peine jetté un coup d’œil rapide sur les choses, ont pris tout à coup leur essor dans la région des idées, pour y bâtir sur des nuages legers des hypothèses chancelantes  ; nous les avons vus, dis-je, arrêtés, confondus au milieu de leur course, l’histoire toute récente de leur défaite se lit encore à nos portes ; à côté de cet arc de triomphe élevé à la Religion, nous ne verrons plus quatre affiches se renouveller tous les jours pour lui disputer ses lauriers ; & ne voyant plus autel contre autel, le libertin & l’impie n’auront plus à nous insulter en nous disant : (Ps. 54. v. 9. […] par des accroissemens de sainteté & d’amour envers l’Etre Suprême  ; & de l’autre la connoissance du cœur humain, jointe à la pratique du Théatre, l’a convaincu qu’on y porte & qu’on y rapporte le remord, qu’on n’en sort & qu’on n’en peut sortir qu’ avec un accroissement de présomption (p. 23.)

312. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre prémier. De l’éxcellence du nouveau Théâtre. » pp. 68-93

Ajax porte fouet semble annoncer un cocher ; Œdipe ne promet qu’un homme dont les pieds sont percés ; &c ; L’Eunuque ne fait pas attendre des choses bien distinguées.

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