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285. (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32

De qui peut être un tel langage, que d’un ami des Comédiens qui a levé le masque, d’un Apologiste outré, qui ne sait garder ni mesure ni vraisemblance, et qui sera désavoué par tous ceux qui savent quel est le sel dont on assaisonne ordinairement ce qui doit plaire dans les spectacles ? […] Gardons-nous d’irriter ce perfide ennemi, Dans le cœur le plus froid il ne dort qu’à demi ; Et périsse notre art, que nos lyres se taisent, Si c’est à l’amour seul que les hommes se plaisent. » Mais en voilà bien assez pour montrer à quoi aboutit tout ce qu’on apprend aux spectacles, et pour faire rougir le prétendu Théologien, qui mérité si justement ces reproches de l’Ecriture Isaïe 5. 20.

286. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VIII. Anecdotes illustres du Théatre. » pp. 186-214

Elle donna une medaille d’or à Cardin acteur de la comédie Italienne, qui eut le bonheur de lui plaire. […] Ce soupçon contribua aux grands coups que le Clergé, pour plaire au Roi, porta à l’autorité du Saint Siége. […] Il a retiré sa piéce pour la retoucher, plaise au Ciel qu’il profite de ces sages avis.

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