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322. (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42

Les acteurs n’abandonnent qu’une foible portion de la recette ; c’est donc le public qui, après la mort de l’auteur, devient le véritable propriétaire des pièces qu’il a lui seul acquises. […] Les pièces de théâtre, soit imprimées, soit manuscrites, ne pourront être jouées sur aucun théâtre public pendant la vie de l’auteur, ou moins de cinq ans après sa mort, sans son consentement exprès et par écrit, ou de celui de ses ayans cause.

323. (1574) Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces « Epître de saint Cyprien contre les bateleurs et joueurs de farces. » pp. 423-426

Quoiqu’il fût construit de pierres grosses et merveilleuses, ce ne sont que morceaux et pièces de montagnes : et ores que les lambris fussent dorés, et reluisants à merueilles, la lueur et splendeur des astres les surpasse infiniment.

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