L’impie qui est l’organe du Démon, tient les mêmes maximes ; il insinue d’abord quelque proposition libertine, il corrompt les mœurs, et raille ensuite des Mystères, il tourne en ridicule le Paradis et l’Enfer, il décrie la dévotion sous le nom d’hypocrisie, il prend Dieu à parti, et fait gloire de son impiété à la vue de tout un peuple. […] Que le Roi vive, qu’il vive éternellement, pour le bien de l’Église, pour le repos de l’État, et pour la félicité de tous les peuples.
Il faut détruire cette idée ; il faut me transporter dans le palais d’Auguste, dans le férail, dans le Temple du peuple de Dieu, dans le camp d’Alexandre.