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160. (1772) Réflexions sur le théâtre, vol 9 « Réflexions sur le théâtre, vol 9 — RÉFLEXIONS. MORALES, POLITIQUES, HISTORIQUES, ET LITTÉRAIRES, SUR LE THÉATRE. LIVRE NEUVIEME. — CHAPITRE IV. Pieces singulieres. » pp. 107-153

Il ne l’ôta à personne. […] Personne n’a songé à les y poursuivre. […] Il fait de cette loi & de son Divin Auteur un très-juste & très-bel éloge, mais très-inutile ; personne ne l’a jamais contesté. […] Les Déistes ont beau faire, tous leurs écrits, leurs tragédies, leurs systèmes n’ouvriront à personne la porte du Paradis. […] Il étoit prouvé & convenu que dans le cours de l’action ces trois personnes ne s’étoient pas séparées.

161. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre V. Du Luxe des coëffures. » pp. 115-142

Personne n’eút été dupe d’une si grossiere fourberie. […] Personne ne l’a lu sans rire. […] Quatre heures après l’enrégistrement fait au Parlement, toutes ces charges furent levées aux parties casuelles ; chaque maître a bien cinq ou six garçons, ce qui fait six à sept cent personnes de plus, occupés à la Coëffure. […] Mais personne n’y perd plus que les actrices, & leurs amans. […] On n’oseroit paroitre dans le monde, si on n’est coëffé en Comédien ; aussi les Baigneurs & les Coëffeuses vont assidument au spectacle, & par libertinage, & par intérêt, pour prendre des leçons de leurs bonnes amies, car personne ne porte plus loin la finesse de l’art, & les coups de maître.

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