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400. (1773) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre quatorzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littérairesn sur le théatre. — Chapitre IIbis. Autre suite du Fard. » pp. 61-89

Les Interprêtes pensent que c’est l’Antimoine, ou du moins quelque composition, où il entre de l’antimoine. […] Qui pense aux vertus, aux talens, aux bonnes qualités d’une personne négligée ?

401. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137

Il croit que préparés & servis à propos, ils peuvent être utiles dans bien des maladies, mais qu’en général ils nuisent plus qu’ils ne servent, sur-tout qu’ils amolissent, énervent, rendent les hommes efféminés, & allumennt le feu de l’amour, ils ne sont propres qu’aux femmes, & même aux jeunes épousées ; car pour les vieilles, c’est un vrai ridicule ; une vicille parfumée fait penser qu’elle a la folie d’être amoureuse : Unguento perfusa coma pectusque madidam est. […] Quelques Auteurs ont pensé que c’est en punition du crime de Cham & de Chanaam, dont on les dit descendre.

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