Je portais partout ces pensées et ces réflexions, et j'avalais, sans le savoir, le funeste poison de la débauche. […] Cette double signification du mot affection d’une chose et à unec hose n'est pas Française ; ce mot ne se prend que dans l'actif aimer un objet, non dans le passif, en être affecté, mais la pensée est vraie, et d'un grand usage pour les mœurs.
Ma derniere pensée sera pour Dieu, l’avant-derniere pour vous. […] Jamais Saint Louis n’a quitté son armée le jour d’une bataille, pour aller voir sa maîtresse, & jamais au moment de la donner, & ne lui a écrit, ma derniere pensée sera pour Dieu, & l’avant-derniere pour vous . […] Tout est faux dans cette pensée, qui n’est d’ailleurs, ni rare, ni neuve.