Pour le goût de la comédie, je crois sans peine que Moliere l’a épuré.
[NDE] Laurent Thirouin cite ce passage de la première lettre aux Thessaloniciens : « Vous n’avez pas oublié, mes frères, quelle peine et quelle fatigue nous avons souffertes, et comme nous vous avons prêché l’Evangile de Dieu en travaillant jour et nuit, pour n’être à charge à aucun de vous » (I, Thess.