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34. (1825) Encore des comédiens et du clergé « CHAPITRE XII. Réflexions sur les Evêques et les Prêtres de la primitive Eglise, et de l’Eglise moderne, suivies de réponses aux reproches de M. de Sénancourt, sur le même sujet. » pp. 212-222

Nos lecteurs pourraient en vérifier les citations dans le livre des Comédiens et du Clergé, aux pages 67, 69, 127, 128, 201, 344, 345, 347, 349, 350 et 351. […] On y lit en effet, à la page 355, qu’un M. de Sénancourt est auteur de plusieurs ouvrages, où l’on trouve beaucoup d’exaltation, du vague, de l’obscurité et une couleur constamment sombre. […] de Sénancourt, voulant donner un échantillon de son orthodoxie, a bien soin de dire que ces sortes d’alliances spirituelles deviennent rares depuis que les croyances se perdent, et c’est lui-même qui fait remarquer ces derniers mots, imprimés en lettres italiques, à la page 265 du Mercure du dix-neuvième siècle, que j’ai indiqué dans le chapitre Ier qui précède.

35. (1760) Critique d’un livre contre les spectacles « DISCOURS PRELIMINAIRE. » pp. -

Il se dévoile lui-même, quand il dit dans ce même Livre contre les Spectacles, page 223 : « Le plus méchant homme est celui qui s’isole le plus, qui concentre le plus son cœur en lui-même : le meilleur est celui qui partage également ses affections à tous ses semblables. […] Page 91. […] [NDA] Il dit, page 31 de la Préface de sa Comédie de Narcisse : S’ils remarquent (les hommes) que l’amour de la réputation me fasse oublier celui de la vertu, je les prie de m’en avertir, et même publiquement, et je leur promets de jeter à l’instant au feu mes Ecrits et mes Livres, et de convenir de toutes les erreurs qu’il leur plaira de me reprocher.

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