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306. (1825) Des comédiens et du clergé « Des comédiens et du clergé. —  De certaines processions ou cérémonies religieuses, pratiquées par le clergé, et qui sont ou ont été beaucoup plus nuisibles au culte et a la morale publique que les comédies représentées sur nos théâtres.  » pp. 201-340

Voici la traduction : Il est né, il est né, il est né aujourd’hui, le Seigneur qui efface les péchés du monde, que le Père, créateur de tout, a envoyé dans ce lieu d’exil, pour racheter sa créature et la rendre au paradis ; il n’a pas, il n’a pas, il n’a pas diminué ce qu’il était, en devenant ce qu’il n’était pas, mais en prenant l’enveloppe de chair (un corps), dans le palais (le sein) de la Vierge, comme l’époux sort de la chambre nuptiale, il est sorti du sein de sa mère ; la fleur de la branche de Jessé remplit les siècles de son fruit.

307. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

L’emploi des Comédiens établis pour donner aux Hommes une récréation honnête, n’a rien selon moi qui mérite d’être défendu, & je ne les crois pas en état de péché … … … Je crois, poursuit-il, que ceux qui les paient & les assistent avec modération ne péchent point, & qu’ils font même une action de justice, puisque c’est leur donner la récompense de leur travail, &c.

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