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42. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre III. De l’Indécence. » pp. 21-58

J’éxhorte les Poètes qui se proposent de travailler en sa faveur, à ne rien laisser glisser dans leurs Ouvrages qui ne soit digne de charmer tous les honnêtes gens. […] Songez en écrivant un drame, n’importe pour quel Théâtre il soit destiné, que votre Ouvrage doit être vu par une grande partie du Royaume. […] Mais combien d’indécences ne découvre-t-on pas dans cet Ouvrage ? […] Je voudrais au moins qu’on mit un nom différent aux Drames qui nous sont inspirés par un Ouvrage licencieux, & malheureusement trop public. […] Voilà ce qu’on appelle une fin proportionnée au commencement ; & un Ouvrage indécent d’un bout à l’autre.

43. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 2 « Chapitre II. Discipline du Palais. » pp. 26-50

Il a laisse un autre ouvrage qu’on cite tous les jours au barreau. […] En 1761 il parut en faveur du théâtre un fort mauvais ouvrage, qui fit du bruit. […] Ils chassèrent de leur Corps le tendre consultant, le déférèrent au Parlement, demandèrent sa punition, et y dénoncèrent son ouvrage. […] Il en a abusé pour parvenir à faire imprimer un ouvrage scandaleux dont l’approbation et la permission lui avaient été refusées. […] On invite le public à lire cet ouvrage, en assurant que les gens instruits seront charmés d’y retrouver leurs principes, et les autres seront charmés de s’y instruire.

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