Outre cela il reprend aussi toutes mauvaises coutumes et observations des Gentils et Païens, sous le nom aussi de quelques-unes qu’aucuns Chrétiens retenaient de son temps, et ne pouvaient oublier du paganisme. […] Auxquels jours nous n’oublions rien de tous jeux et ébats séculiers jadis inventés par les Gentils : de bouffons mathassinse, mômeries, mascarades, toutes sortes de danses, comédies, fables ou farces, comme nous disons, par lesquelles on représente comme ès Florales, sinon de fait au moins de paroles, de signes, gestes, et de substance choses vilaines, et déshonnêtes qui ne peuvent qu’aviser, induire, et inciter les personnes à ce faire, à la première occasion qui s’y offre.
Tâchant de ne rien oublier d’èssentiel dans cet Ouvrage, je dois parler des deux genres de musique qui divisent toute la France. […] Je ne dois pas oublier de faire ici une remarque digne de la curiosité du Lecteur. […] Nos rivaux pourront-ils nous pardonner d’avoir un mérite égal au leur ; & pourrons-nous oublier qu’ils nous ravissent la moitié de nos succès ?