Flechier son Evêque, fameux panegyriste des saints ; ce n’est pas sans doute dans les œuvres du Prêlat, qui jamais ne canonisa Moliere, qu’il en apprit le Panegyrique.
Les Payens étoient plus conséquens, ils ne connoissoient ni la felicité des Chrétiens, ni les trésors de la grace, ni la morale de l’Evangile, ni le merite des bonnes œuvres ; les plus sages d’entre eux blâmoient pourtant le théatre.