On applaudit aux combats des Gladiateurs, et on se moque des œuvres de miséricorde ; on entretient la débauche des Comédiens, et on laisse manquer les pauvres du nécessaire ; on blasphème la doctrine de Dieu et on décrie les Prédicateurs qui condamnent cette infamie publique, et on adore ces Dieux prétendus qui se plaisent à des spectacles de théâtre qui déshonorent le corps et l’âme.
[NDE] L’auteur cite le premier Placet présenté par Molière au Roi pour défendre son Tartuffe : « Je n’ai point laissé d’équivoque, j’ai ôté ce qui pouvait confondre le bien avec le mal », voir Molière, Œuvres complètes, éd.