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339. (1822) De l’influence des théâtres « [De l’influence des théâtres] » pp. 1-30

Deux ou trois représentations d’un spectacle bourgeois leur donnèrent le goût de la comédie ; les économies ne suffirent pas même pour satisfaire ce penchant, devenu chez eux une seconde nature ; puis, la retenue des quarts de jour perdus, pour ne point manquer une première représentation aux boulevards, ou bien au Vaudeville, fit avoir recours au mensonge, pour apaiser les parents, envers lesquels on gardait encore une sorte de réserve, dont on se promettait bien de s’affranchir à la première occasion.

340. (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88

La Comédie n’est-elle pas une occasion prochaine de manquer à tous ces enseignements salutaires, quand on y trouve tout ce qui peut plaire aux yeux, charmer les oreilles, toucher le cœur ? […] 1. « En même temps que vous étiez au Bal (c’est la même chose de la Comédie) plusieurs âmes brûlaient en enfer pour des péchés commis en pareille occasion.

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