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90. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232

J’ajoute qu’on éviterait, par la nouvelle disposition des Coulisses closes en apparence, que l’on n’aperçût l’Acteur qui attend le moment de paraître, ou qu’on ne vît l’artifice grossier qu’il emploie pour annoncer son arrivée, en frappant du pied, &c. […] [Les Loges de la nouvelle Salle de l’Opéra, & celles du Théâtre de Mets, sont construites sans pilliers, & de la manière la plus avantageuse]. […] Corrigeons encore ; & que l’homme le plus scrupuleux puisse rire sans répugnance à la nouvelle Comédie*. […] Aucune Pièce nouvelle ne pourra desormais être représentée en Province, qu’elle n’ait été approuvée par le Tribunal Dramatique de la Capitale. […] Je donnerai une autre fois, l’a-peu-près du produit de nos Théâtres dans la nouvelle Administration.

91. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre troisiéme. — Chapitre III. But que le Spectacle moderne doit se proposer. » pp. 123-132

Ma nouvelle réponse, à cette question embarrassante, ne ressemblera nullement à celle que j’ai déjà faite.

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