En ce sermon combien que Saint Augustina ne fasse pas mention spéciale de toutes sortes de divinations (pour être chose trop longue, et prolixe, et qui eût bien requis un œuvre à part) si est-ce qu’il ne laisse pas et entend les reprendre sous celles qui y sont nommées.
Recommandables par leur valeur & leur piété, ils furent appellés en 1230 pour combattre les idolâtres du nord de l’Allemagne qui faisoient une cruelle guerre aux Chrétiens ; ils furent aidés dans cette espèce de croisade par les Seigneurs allemands & polonois, les Ducs, (nommés depuis Palatins,) de Cracovie, de Marsovie, de Salm, de Cujavie, de Gnesne, de Kalich, &c. du Roi de Boheme, du Duc d’Autriche, du Marquis de Brandebourg, &c. dont aucun ne pensoit à lui donner des terres. […] Ce ne sont que des compilateurs, leurs chefs-d’œuvres des plagiats, des répétitions : il n’y a de neuf que l’excès de l’impiété, & l’impudence à les répandre, ou quelquefois l’hypocrisie à les déguiser sous un air de modération qu’on nomme tolérance, bienséance, patriotisme, qui arrête les plus grands attentats contre la Divinité, & la puissance royale qu’on ébranle.