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126. (1759) L.-H. Dancourt, arlequin de Berlin, à M. J.-J. Rousseau, citoyen de Genève « Au Roi » pp. -

C'est au Protecteur des Arts, c’est à l’Ami des talents que j’offre l’Apologie de celui que j’exerce pour l’amusement de son auguste Cour ; quel moyen plus sûr de rendre mes arguments invincibles que de les décorer du nom de Votre Majesté ?

127. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome II « De l’Art du Théâtre. — Chapitre IV. De la Pastorale Dramatique. » pp. 59-77

Les Poèsies champêtres qui portent le nom d’Ydiles ou d’Eglogues, quoiqu’assez semblables à la Pastorale, demandent pourtant des règles différentes. […] Nous avons une autre espèce de Drame naturel ou de Pastorale, à laquelle on donne le nom de Comédie-Poissarde, qui ne laisse pas d’avoir ses agrémens. […] Je puis me dispenser d’avertir que tous les Personnages d’une Pastorale doivent-être des habitans de la campagne, son nom seul le dit assez.

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