Puisqu’ils ne tirent aucun fruit de la gêne incommode de la vertu, ils seraient bien dupes de se priver des plaisirs tolérés par les lois et permis par la nature.
« Que quoique ces plaisirs soient indifferents de leur nature, néanmoins selon l’ordinaire façon avec laquelle cet exercice se fait, il est fort penchant et incliné du côté du mal, et par conséquent plein de danger et de péril. » Mais n’est-ce pas en dire assez pour en éloigner tout le monde ? […] Caffaro Lettre d’un théologien illustre, p. 20-21 : « Je dis que, selon moi, les Comédies de leur nature, et prises en elles-mêmes indépendamment de toute circonstance, bonne ou mauvaise, doivent être mises au nombre des choses indifférentes.