Mais son effet n’est pas pour cela de nous faire préférer le vice au ridicule ; elle nous suppose pour le vice cette horreur qu’il inspire à toute âme bien née ; elle se sert même de cette horreur pour combattre nos travers ; et il est tout simple que le sentiment qu’elle suppose nous affecte moins (dans le moment de la représentation) que celui qu’elle cherche à exciter en nous ; sans que pour cela elle nous fasse prendre le change sur celui de ces deux sentiments qui doit dominer dans notre âme. […] On rit de sa mauvaise humeur, comme de celle d’un enfant bien né et de beaucoup d’esprit.
… Sophie……………………………… Quand sous tes doigts naissent les roses, Les épines sont dans ton cœur.