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99. (1751) Avertissement (Les Leçons de Thalie) pp. -

Dans le premier, c’est une représentation où l’intrigue, le jeu de théâtre, les situations sont les parties qui forment l’ensemble d’une pièce, parties nécessaires à la vérité, mais qui n’en sont que l’accessoire, destinées à intéresser le Spectateur, mais qui renversent quelquefois le but principal de la Comédie, savoir, la réformation des mœurs.

100. (1694) Maximes et Réflections sur la Comédie « XXII. On vient à saint Thomas : exposition de la doctrine de ce Saint. » pp. 79-81

La question qu’il propose dans l’article second est à savoir s’il y a des choses « plaisantes, joyeuses : ludicra, jocosa » : qu’on puisse admettre dans la vie humaine ; « tant en actions qu’en paroles, dictis seu factis » : en d’autres termes, s’il y a des jeux, des divertissements, des récréations innocentes : et il assure qu’il y en a, et même quelque vertu à bien user de ces jeux, ce qui n’est point révoqué en doute : et dans cet article il n’y a pas un seul mot de la comédie : mais il y parle en général des jeux nécessaires à la récréation de l’esprit, qu’il rapporte à une vertu qu’Aristote a nommée eutrapelia De mor. 4. 14.

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