Malheur à vous qui faites la débauche & qui dansez au son des instrumens : par-tout où la danse se rencontre, la musique & les transports d’une joie effrenée, les femmes s’oublient de leur devoir, les hommes sont saisis d’un esprit de vertige ; c’est un séjour de tristesse pour les Anges, le sanctuaire des Démons & leur grande fête.
Ni cette musique qui amollit, ni cette déclamation qui séduit, ni ce luxe qui éblouit, ni ces décorations qui charment, rien n’y plairoit sans passion.