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286. (1759) Apologie du théâtre « Apologie du théâtre » pp. 141-238

Mais si l’amour y est peint comme il doit l’être, terrible et funeste dans ses excès, respectable et touchant dans ce qu’il a d’honnête, de vertueux, d’héroïque, ce tableau de l’amour sera une leçon morale, sans en excepter Zaïre, qui meurt non pas victime de l’amour, mais victime de son devoir et des fureurs de la jalousie, sans en excepter Bérénice qui serait tombée, quoi qu’en dise M. […] « Zaïre meurt, et l’on ne laisse pas de souhaiter de rencontrer une Zaïre.

287. (1778) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre vingtieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre III. Suites des Mélanges. » pp. 68-117

Il vient de mourir, il a paru devant son juge : plaise au ciel qu’une sincere pénitence ait expiré le crime & le scandale de ses licences, à un tribunal qui les punit éternellement !

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