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317. (1743) De la réformation du théâtre « De la réformation du théâtre — PREMIERE PARTIE. — CHAPITRE VII. Quelle doit être la Comédie après la réformation du Théâtre. » pp. 69-85

Le Poète comique, qui marcherait par le chemin si rebattu et si dangereux de la Comédie de nos jours, ressemblerait, sans doute, à ce Médecin pernicieux : comme lui il apporterait, à une nombreuse assemblée de malades, au lieu d’un remède capable de les guérir en corrigeant leurs vices, il leur apporterait, dis-je, la mort, en les entraînant dans de nouveaux excès par ses discours et par ses actions.

318. (1776) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-neuvieme. — Chapitre V. Autres Mêlanges. » pp. 121-140

Enfin sur ses vieux jours il s’avisa de se marier, prit une vieille femme de près de soixante ans, d’un bon caractere, avec qui il vêcut dans une parfaite intelligence ; il la soigna avec affection & lui donna tous les secours que lui permettoit sa modique fortune, dans les longues & fâcheuses infirmités, jusqu’à sa mort. […] Bouhours, après la mort de Moliere, fit quelques vers à son honneur, fort médiocres à la vérité, où il avance que ce Comique réforma la Ville & la Cour.

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