/ 359
227. (1697) Histoire de la Comédie et de l’Opéra « HISTOIRE ET ABREGE DES OUVRAGES LATIN, ITALIEN ET FRANCAIS, POUR ET CONTRE LA COMÉDIE ET L’OPERA — CHAPITRE I. Abrégé de la Doctrine de l’Ecriture Sainte, des Conciles et des Pères de l’Eglise, touchant la Comédie. » pp. 2-17

Mais je vous montrerai, me direz-vous, des personnes à qui ces Jeux n’ont point fait de mal.

228. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92

Ou bien est-ce que la modestie et la sagesse qu’elles montrent ailleurs, ne seraient qu’hypocrisie et que grimace ? […] Maintenant, si Plaute est plus riche que Térence pour l’invention, celui-ci l’emporte sur l’autre pour le jugement et pour le bon goût : non seulement ses railleries sont plus fines et son style est plus élégant, mais ses caractères aussi sont plus exacts, et montrent qu’il a mieux connu la nature que Plaute. […] Cette remarque et les deux précédentes montrent assez qu’on réclame en vain l’exemple de ce Comique, dont il est visible que l’autorité se réduit à rien.

/ 359