On n’y monte pas sur le théatre pour y parler de Dieu & des moyens de pratiquer la vertu.
Alors le char & le cortege s’arrêtoient, les sépulchres s’ouvroient, les corps morts en sortoient comme à la résurrection des morts ; ils chantoient d’un ton lamentable, pénitence, pénitence : ensuite venoit un corps de cavaliers, déguisés en morts, montés sur des chevaux comme ceux de l’apocalypse, les plus maigres qu’on avoit pu trouver.