Ces vertus à quoi l’on s’est engagé par les vœux du Baptême, n’ont pas de plus grand ennemi que la morale du Théâtre, dont on ne peut attendre d’autre fruit que la corruption des mœurs : la perte de l’innocence est-elle bien dédommagée par le plus frivole amusement, une recréation vaine & stérile qui resulte d’une image d’un célébre malheureux ou d’une amante délaissée ?
Je prétens qu’ils y a de divertissemens dans le monde qui passent pour legitimes, & que l’opinion commune des gens du siécle authorise ; mais que le Christianisme condamne, & qui ne peuvent s’accorder avec l’integrité, & la pureté des mœurs.