M. l’Abbé Fleury, dans les Mœurs des Chrétiens, condamne les Théâtres ; chez Aubouin, en 1682.
Le Théâtre ne fait plus, il est vrai, partie du culte de la Religion Payenne ; mais la corruption des mœurs n’y règne pas moins que sur les Théâtres de Rome et d’Athènes.