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205. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VII. Est-il de la bonne politique de favoriser le Théâtre ? » pp. 109-129

Finissons par l’autorité de Théodoric, Roi des Goths, très grand Prince, malgré la barbarie de sa nation et de son siècle, et par celle de Cassiodore son Secrétaire d’Etat, l’un des plus habiles et des plus vertueux Ministres.

206. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

Ce sage Ministre, la gloire de la France, qu’en vain l’envie a tâché de noircir, en connaissait mieux l’importance & l’efficacité que notre Devin champêtre, que par pitié j’épithète de petit atôme littéraire. […] Le Cardinal de Richelieu, Ministre d’un génie transcendant, l’aimait comme on le sait, passionnément. […] Dans les premiers temps même de l’Eglise, les Prêtres, les Diacres, les Ministres des Autels représentaient des Pièces en l’honneur de St Jean, de St Etienne ; mais le St Siège voulant abolir cet usage, donna un décret [Interdum ludifiant, &c. in 3 decret. c. 10, tit. 1, cùm decorem domus Dei] il fallait attacher l’infâmie à ces sortes de Représentations pour les abolir.

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