Ceux qui, à cet égard, ne sont pas de notre sentiment, quoique d’ailleurs ils admettent la divinité des Ecritures, nous les regardons comme de mauvais logiciens, qui accordent les prémisses, & qui nient la conclusion.
C’est d’entr’eux qu’est sorti, depuis leur renaissance en France, le plus grand nombre des bons Auteurs, & le plus grand nombre des mauvais.