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157. (1775) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre dix-septieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Remarques Angloises. » pp. 133-170

C’est le tombeau d’une jeune femme morte entre les bras de son mari (& qui n’est pas trop décent dans une église) ; on y voit ceux du Chevalier Venin, de l’Amiral Vailon, du Capitaine Hardic, du Musicien Drandel, du Philosophe Neuton, &c. tous ceux des personnes de leurs familles, même celui de Milton, qui lui seul valoit plus que toutes les actrices du monde, & qui pourtant fut élevé aux dépens de son neveu. […] Et comme il faut de l’amour au théatre, le Viceroi ne fait ces folies que parce qu’il est amoureux de la Duchesse de Bragance, qu’il veut épouser quand il aura empoisonné son mari, & la fera monter sur le trône de Portugal, quand il l’aura épousée.

158. (1582) De spectaculis. Cap. 5. [Tertia ac postrema syntagmatis iuris vniversi pars, liber XXXIX] « De spectaculis. Cap. 5. » pp. 818-825

Illius certaminis præmium, corona primùm apij, deinceps ex pinu, propterea quòd infrugifera maris instar arbor sit, vt aiunt scholia Pindari.

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