Je déteste surtout le tableau qui pendant toute la Tragédie est sans cesse devant mes yeux, de deux frères qui aiment Rodogune et qui nous présentent presque à la fois des traits d’un Héroïsme manqué, et d’une véritable faiblesse.
Rien ne manque à l’amour. La Comédie pouvoit-elle manquer d’y être ; c’est le souverain bien.