Ces peuples recherchèrent dans leurs malheurs l’amitié de Coriolis qu’ils avaient banni ; et lui envoyèrent à ce sujet de solennelles ambassades.
La seconde représentation qu’on osa risquer, ne fut pas plus heureuse, quoiqu’il eût fait bien de corrections, ces malheurs lui sont communs avec plusieurs autres, même d’un plus grand nom que lui.