/ 395
124. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre onzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et littéraires, sur le théatre. — Chapitre VII. Fêtes de Théatre. » pp. 169-185

Cette précaution augmenta le désordre, on s’étoustoit pour sortir, les domestiques qui étoient dehors enfoncerent les portes pour aller sauver leur maître, plusieurs périrent avec eux, & bien d’autres pour sauver leur parent & leurs amis. […] Marseille fut autrefois célebre par la sévérité de ses mœurs, & singuliérement par l’éloignement du théatre, qu’elle a pendant plusieurs siécles réfusé de recevoir, malgré la fureur qu’avoient pour lui, les Grecs d’où elle tiroit son origine, & les Romains qui étoit devenus ses maîtres, parce qu’elle le régardoit comme l’école du vice, funeste sur-tout à la jeunesse, à laquelle ses loix l’avoient absolument interdit. […] Nouvelle occasion de vice, la nuit favorise tout, & le prétexte du Vaushal désarme les peres & les maîtres les plus vigilant.

125. (1731) Discours sur la comédie « PRIVILEGE DU ROI. »

A nos aimés et féaux Conseillers les Gens tenant nos Cours de Parlement, Maîtres des Requêtes ordinaires de notre Hôtel, Grand Conseil, Prévôt de Paris, Baillifs, Sénéchaux, leurs Lieutenants Civils, et autres nos Justiciers qu’il appartiendra, Salut.

/ 395