Quand je lis ces Vers dans la traduction Italienne, très-exacte, Digli, per quali imprese Porto la fama i loro nomi al cielo, E narragli più tosto Le loro gesta, che la loro sorte.
Fremer sento al suo pié tuoni, e saette, L’odo dar legge ai secoli futuri, E regolare delle sfere il corso ; E veggo a un cenno suo da’ loro oscuri Antri uscir gli Acquiloni che sul dorso Portan gli strali delle sue vendette. » ed Si ce Sonnet dont le style a paru à Rome avoir quelque conformité avec le style de David ; si le morceau de Tragédie traduit ci-dessus ne vous font l’un et l’autre accorder que de l’esprit à Mme de Tagliazucchi, vous conviendrez qu’elle a du génie, si vous voulez consulter le recueil poétique de L’Arcadie ; vous y trouverez un bon nombre de morceaux de tous genres, et dans le goût et le style de tous les différents poètes les plus célèbres de l’Italie, mais surtout du Dante, de Pétrarque, de l’Arioste.