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341. (1819) La Criticomanie, (scénique), dernière cause de la décadence de la religion et des mœurs. Tome II « La criticomanie. » pp. 1-104

L’auteur, en respectant et nous laissant intactes ces comédies, a paru en approuver ou légitimer le style, ce qui, eu égard à sa célébrité et au bruit qu’ont fait ses ouvrages, que tout le monde a voulu lire, qui sont devenus élémentaires pour beaucoup de gens, sous ce rapport aussi, a répandu infiniment plus de mauvais goût dans toutes les classes que ses bonnes pièces ne pouvaient en réformer.

342. (1768) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre douzieme « Réflexions morales, politiques, historiques, et litteraires, sur le théatre. — Chapitre II.  » pp. 37-67

Les auteurs chéris de cet instituteur, qu’il met entre les mains des enfans, sont presque tous protestans, & la plupart des gens sans réligion ; il marque par-tout un souverain mépris pour les Réligieux & les Ecclésiastiques, il fronde tout ce qui la précedé, il ne connoît de bon que la philosophie du tems, c’est-à-dire, l’irréligion ; dumoins devoit-il conserver les mœurs, & non pas corrompre de bonne heure, l’imagination des enfans, en leur faisant lire, étudier, analiser le poëte le plus galant, & leur donner ses piéces pour thêmes.

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