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232. (1694) Sentiments de l’Eglise et des Pères « CHAPITRE II [bis]. De la Comédie considerée dans elle-même, et dans sa nature. » pp. 29-54

Nous lisons dans la vie des Saints Pères du désert, qu’il fut un jour révélé à S. […] Et certes, la curiosité ne passera jamais pour une chose innocente dans l’esprit de ceux qui ont lu dans les saintes Ecritures les funestes suites qu’eut celle de Dina,Gen. 35.

233. (1763) Réflexions sur le théâtre, vol. 1 « CHAPITRE VI. De la Religion sur le Théâtre. » pp. 120-142

une école d’erreur, un prêche d’impiété, une chaire de pestilence, où l’on entend ce qu’on n’oserait lire ni écouter ailleurs ? On a blâmé les controversistes qui ont mis les objections dans un grand jour, et n’y ont répondu que faiblement ; on a fait ce reproche, quoique très mal à propos, au Cardinal Bellarmin et à l’Abbé Houteville, ou plutôt on le fait indifféremment, et sans les avoir lus, à tous les livres de controverse, pour accréditer la mauvaise doctrine, en décréditant ceux qui la combattent, et faire regarder comme indissolubles des difficultés qu’on dit si mal résolues.

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