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57. (1823) Instruction sur les spectacles « Conclusion. » pp. 195-203

« Fuis ce lieu dangereux, innocente pudeurbu ; Fuis ces rochers couverts des débris de l’honneur. » On reconnaissait les premiers chrétiens à leur éloignement pour le cirque. […] Vous, jeune personne, gardez-vous de paraître dans ces lieux pernicieux où votre innocence ne manquerait pas de faire un triste naufrage. […] N’est-ce point assez que vous leur ayez communiqué le feu de la concupiscence en leur donnant la vie, faut-il que vous en augmentiez l’activité en les conduisant dans ces lieux pervers ?

58. (1707) Réflexions chrétiennes « Réfléxions chrétiennes, sur divers sujets. Où il est Traité. I. De la Sécurité. II. Du bien et du mal qu’il y a dans l’empressement avec lequel on recherche les Consolations. III. De l’usage que nous devons faire de notre temps. IV. Du bon et mauvais usage des Conversations. Par JEAN LA PLACETTE, Pasteur de l’Eglise de Copenhague. A AMSTERDAM, Chez PIERRE BRUNEL, Marchand. Libraire sur le Dam, à la Bible d’Or. M DCCVII — Chapitre XII. Du temps que l’on perd à la Comedie, et aux autres spectacles de même nature. » pp. 269-279

On peut ajoûter en troisiéme lieu que rien n’est plus opposé aux dispositions les plus essentielles au veritable Chrétien, que celles que la Comedie inspire. […] J’ajoûte en deuxiéme lieu que cette ombre même de pureté dont on parle est en un sens ce qu’il y a de plus pernicieux. […] Je dis en troisiéme lieu qu’il n’y a qu’un petit nombre de vices que la Comedie tourne en ridicules, par exemple l’avarice, la bigoterie, la fourberie, certaines affectations, certaines manieres choquantes.

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