/ 434
3. (1666) Lettre à l’auteur des Hérésies Imaginaires et des deux Visionnaires « [EN-TETE] »

[NDE] Cette lettre paraît sans mention d’auteur, de date ni de lieu mais on sait qu’elle a été publiée à Paris en 1666. […] Entre janvier 1664 et novembre 1665, Nicole a publié dix Lettres imaginaires et une Apologie pour les religieuses de Port-Royal. Desmarets de Saint-Sorlin fait une Réponse à l’insolente apologie des religieuses de Port-Royal qui conduit Nicole à rédiger une onzième Lettre imaginaire dans laquelle il dénonce les calomnies de Desmarets. Il écrira ensuite sept autres lettres sous le titre de Visionnaires, qui renvoie à la comédie des Visionnaires de Desmarets. La lettre de Racine engendrera elle-même deux réponses (la première, attribuée à Jean Barbier d’Aucour, intitulée « Réponse à la lettre adressée à l’auteur de Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Response à l’auteur de la Lettre contre les Hérésies imaginaires et les Visionnaires », attribuée à Philippe Goibaud-Dubois ou à Jean Barbier d’Aucour), auxquelles Racine proposera une dernière réponse, qu’il laissera pourtant inédite (« Seconde lettre de Monsieur Racine aux deux apologistes de l’auteur des Hérésies imaginaires »).

4. (1666) Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Hérésies Imaginaires « [EN-TETE] »

LETTRE XIV a a. [NDE] Cette lettre est la réponse de Racine à deux lettres : la première, attribuée à Jean Barbier d’Aucour, intitulée « Réponse à la lettre adressée à l’auteur de Hérésies imaginaires », et la deuxième : « Response à l’auteur de la Lettre contre les Heresies imaginaires et les Visionnaires », attribuée à Philippe Goibaud-Dubois ou à Jean Barbier d’Aucour (également dans le corpus « La haine du théâtre »). Cette lettre a été laissée inédite par Racine et a été publiée pour la première fois dans les Œuvres de Nicolas Despréaux, La Haye, 1722. L’établissement de ce texte a été réalisé grâce à l’édition originale (« Seconde Lettre de Mr Racine aux deux apologistes des Heresies imaginaires », in Œuvres de Nicolas Boileau-Despréaux, La Haye, 1722, t. 

/ 434