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308. (1694) Lettre d’un Docteur de Sorbonne à une personne de Qualité, sur le sujet de la Comédie « letter » pp. 3-127

Il assure que « cette incomparable Pièce est d’une grande instruction pour la morale, et qu’elle fait beaucoup plus d’impression que n’en feraient les leçons les plus sérieuses ».

309. (1731) Discours sur la comédie « SECOND DISCOURS » pp. 33-303

poursuit-il, si dans l’Eglise même, où le chant des Psaumes, l’explication de la parole de Dieu, et la présence de la Majesté Divine nous mettent en garde contre toutes les attaques, la concupiscence ne laisse pas quelquefois de se glisser dans le cœur, que doit-on se promettre dans un lieu, où les yeux par les objets, et les oreilles par les chants lascifs et efféminés, trouvent tant de pièges, et où l’âme séduite par le plaisir, n’entend presque jamais que des leçons d’une morale, ou païenne ou impudique.  […] , qui cherchait partout des divertissements, appela du fond de l’Italie, une bande de Comédiens dont les pièces toutes d’intrigues, d’amourettes et d’inventions agréables, pour exciter et chatouiller les plus douces passions, étaient de pernicieuses leçons d’impudicité.

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