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213. (1771) Sermons sur l’Avent pp. 103-172

En les considérant par rapport au monde, on pourroit dire, qu’ils sont comme le cloaque affreux, où va s’écouler tout ce que le siecle a de plus impur, & l’on ne parleroit encore que le langage des Peres. […] C’est ainsi, mes Freres, que parloit cet homme zelé aux Chrétiens de son siecle, & vous voyez que son langage ne convient que trop à ceux de nos jours, qui pour peu qu’ils ayent de bon sens, doivent avouer avec le Sage, que la musique est importune dans le deuil, & que la joye est extravagante dans le temps de l’affliction.

214. (1761) Les spectacles [Querelles littéraires, II, 4] « Les spectacles. » pp. 394-420

Mais sa déclamation contre les spectacles a moins paru le langage du remords, que celui de l’amour-propre.

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