En les considérant par rapport au monde, on pourroit dire, qu’ils sont comme le cloaque affreux, où va s’écouler tout ce que le siecle a de plus impur, & l’on ne parleroit encore que le langage des Peres. […] C’est ainsi, mes Freres, que parloit cet homme zelé aux Chrétiens de son siecle, & vous voyez que son langage ne convient que trop à ceux de nos jours, qui pour peu qu’ils ayent de bon sens, doivent avouer avec le Sage, que la musique est importune dans le deuil, & que la joye est extravagante dans le temps de l’affliction.
Mais sa déclamation contre les spectacles a moins paru le langage du remords, que celui de l’amour-propre.