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211. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre V. De la Dépense des Spectacles. » pp. 75-88

) : « Ludis theatralibus opes exinanire, patrimonium suum dilapidando. » Pline l’ancien, quoique Païen, tient le même langage que la raison et la vertu dictent à tout homme sage : « Spectacula edita, fusas opes, operum magnificentiam, excessum luxuriæ » (L.

212. (1836) De l’influence de la scène « De l’influence de la scène sur les mœurs en France » pp. 3-21

Le public voulait que les demi-dieux et les héros de l’antiquité judaïque et païenne eussent ses formes, et si Racine, pour plaire à la cour et au public, en altéra les images en leur donnant la couleur des mœurs françaises, il réagit simultanément sur les générations à venir, par la pureté de son goût, l’élégance de son langage et la perfection de ses tableaux.

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